Une centaine de personnes ont répondu à l’appel d’urgence lancé la veille par l’AFPS 49. Il n’a duré qu’une demi-heure, un commissaire de police s’étant présenté à 17 h pour informer les présents qu’en l’absence de déclaration la manifestation ne respectait pas la législation et que si elle ne cessait pas dans la demi-heure "grand maximum", ils seraient verbalisés et dispersés par la force.
Le nombre de présents à savoir 100 personnes effectivement décomptées, montrait combien monte l’indignation devant les agissements des autorités israéliennes.
L’AFPS 49 a aussi dénoncé la fausse et hypocrite symétrie des autorités françaises appelant à un arrêt des violences sans distinguer causes et conséquences, occupant et occupés, victimes et bourreaux. Ils ont demandé une audience en préfecture vendredi pour porter l’exigence de sanctions contre Israël.