Un peu partout dans le monde, les campagnes Boycott Désinvestissement Sanctions marquent des points.
Comme la campagne du « bateau français pour Gaza », dans le cadre de la 2ème flottille de la Liberté, elles suscitent des réactions de plus en plus vives à la mesure de l’inquiétude de nos adversaires, qui sont les adversaires du droit.
Ainsi, après le procès intenté par OPM, importateur du gazéificateur Soda Club/Soda Stream, en référé devant le TGI de Nantes pour « dénigrement » et … atteinte à la présomption d’innocence (jugement attendu le 26 mai), nous sommes à nouveau attaqués par cette même société devant le Tribunal de Grande Instance de Paris pour contraindre nos groupes à cesser toute action de boycott de ce produit.
Nous n’avons jamais mis en cause la qualité de ce produit à faire des bulles mais le caractère mensonger de son étiquetage qui trompe sur son origine réelle, à savoir la colonie de Mishor Adoumim, dans laquelle il est fabriqué.
OPM veut nous contraindre au silence en réclamant 31000 euros pour préjudice commercial (1000 euros par action recensée), en faisant retirer de notre site toute mention de nos actions sous peine d’une astreinte de 1000 euros par jour et en demandant de surcroît 5000 euros au titre du NCPC (frais d’avocats).
Nous savions nos adversaires de plus en plus isolés. Nous voyons qu’ils prétendent nous faire taire et cherchent à esquiver tout débat sur le fond.
Nous saurons poursuivre, par tous les moyens appropriés, notre combat pour contraindre Israël à se conformer au droit international.