L’information paie car si nous intervenons deux fois à plusieurs mois d’intervalle, nous sommes et reconnus et identifiés par les clients.
Sur le Leclerc de Reze, les vigiles sont plutôt bienveillants et assez vite contact est pris avec la direction du magasin qui écoute et comprend nos arguments, mais nous répond ne suivre que les consignes de l’administration quant à l’étiquetage et au retrait des produits qui seraient illégalement étiquetés.
Il nous est répondu qu’en réunion régionale de directeurs, nos courriers ou actions sont évoqués.
Sur l’Auchan de St-Sébastien, l’échange avec les vigiles est plus ferme et il est impossible d’avoir un entretien avec la direction. De nombreux appels rtéléphoniques pour prise de rendez-vous n’aboutissent pas.
Dans les deux magasins, un courrier est envoyé avec demande de questionnement de leur part à la DDPP sur la légalité de l’etiquetage. Il est difficile d’avoir le contact avec les directions, savoir si la question est p osée.
De prochaines actions BDS sont envisagées devant d’autres magasins nantais avant la fin du mois.