Ses investissements sont prés de 10 milliards dollars à la suite du refus israélien de permettre l’entrée de plus de 130 pacifistes européennes aux territoires palestiniens occupés.
Selon le journaliste jordanien Salim Al Mani , le secrétaire général du Comité de défense des Droits de retour , Talt Abu Othman a affirmé que les pacifistes avaient présenté des notes de protestation à leurs ambassades à cause du refus israélien et encore à l’ambassade israélien à Jordanie où ils avaient protesté devant plusieurs jours.
La caravane pour la Palestine est composée de 150 internationaux de plusieurs nationalités. Ils étaient partis en 40 voitures le 5 Juillet de Strasbourg devant le parlement européen où ils ont rencontré une délégation de députés européen jusqu’à Genève, où ils ont rencontré une délégation à l’ONU en traversant toute l’Europe jusqu’à la Turquie, ensuite la Syrie et la Jordanie où ils se sont rendus dans les camps de réfugiés afin d’affirmer leur soutien au droit au retour.
Malheureusement, les forces de l’occupation israélienne les ont interdits d’arriver à la dernière étape du voyage de la caravane à Jérusalem. La caravane demande l’application du droit international en ce qui concerne la Palestine, notamment le droit au retour des réfugiés palestiniens, le démantèlement du mur de séparation, le démantèlement de toutes les colonies, une protection internationale du peuple palestinien et la libération des prisonniers palestiniens.
La caravane du droit pour la Palestine revendique également des sanctions contre l’état d’Israël pour son viol du droit international. Cette campagne était simultané rejoint avec la mémoire de l’avis de la CIJ pour le démantèlement du mur de séparation.
130 personnes sur 150 ont été interdites d’entrer en Palestine par le pont Alkarameh (Allenby). Après avoir passé la nuit sur le pont, les caravaniers ont été refoulés en Jordanie avec un tampon sur les passeports " NO ENTRY " qui les interdit d’entrer pendant 5 ans en Palestine occupée.
SOURCE : IPC+agences