avec la participation enthousiaste des élèves du Lycée Georges Brassens de Courcouronnes (91) :
SOIRÉE MAHMOUD DARWICH - SAMEDI 16 JANVIER 2010 À 20H30
THÉÂTRE-PERFORMANCE
J’écris ton nom, Palestine.
Mahmoud Darwich
Les peuples de la paix
Mise en scène : Ophélia Teillaud
Traduction : Élias Sanbar
Adaptation : Marc Zammit et Ophélia Teillaud
Sur des musiques de Anouar Brahem
Avec Marc Zammit
et sept lycéens du Lycée Georges Brassens de Courcouronnes
AU CENTRE CULTUREL ROBERT-DESNOS
RIS-ORANGIS – Réserver au 01 69 02 72 77
LE CENTRE CULTUREL ROBERT-DESNOS
LE LABORATOIRE DE L’ACTEUR ET DU SPECTATEUR
LE THÉÂTRE DU CONTE AMER - OPHÉLIA TEILLAUD et MARC ZAMMIT
Présentent
Un spectacle-perfomance sur le destin d’un immense poète contemporain, récemment disparu, qui a fait de sa langue et de la poésie une terre d’asile pour tous les hommes en quête de dignité et de liberté.
Sans doute avons-nous besoin aujourd’hui de la poésie, plus que jamais. Afin de recouvrer notre sensibilité et notre conscience de notre
humanité menacée et de notre capacité à poursuivre l’un des plus beaux rêves de l’humanité, celui de la liberté, celui de la prise du réel à bras le corps, de l’ouverture au monde partagé et de la quête de l’essence.
M.Darwich
Partager aujourd’hui l’œuvre littéraire et humaine de Mahmoud Darwich, c’est partager l’expérience d’une poésie verticale qui ouvre la tragédie d’une nation au devenir universel.
Mahmoud Darwich touche en chacun une aspiration inextinguible : liberté - de corps, de cœur et d’esprit - pour laquelle il ne saurait y avoir
de capitulation. Il rejoint encore la voix des plus grands poètes, écho de celle de tous les peuples, en appelant à une pluralité culturelle, seule garante d’une paix plurielle.
Devrait-on se lasser de répéter sans relâche : c’est dans la relation que les êtres se hissent ensemble au meilleur d’eux-mêmes, non dans la
peur, la violence, la domination et l’humiliation ? Doit-on céder aux sirènes du désenchantement - dont nous assourdit un totalitarisme aux
mille visages - et sombrer dans l’indigence de cœur et d’âme des somnolents ?
Que Mahmoud Darwich écrive : « Palestine est devenue mille corps mouvants sillonnant les rues du monde. » et nous comprenons que sa
parole est terre de tous les hommes qui ne savent se résigner ; « Sans doute avons-nous besoin aujourd’hui de poésie, plus que jamais. » et
nous nous rappelons que le monde que nous voulons n’est pas encore né.
Contact Théâtre du Conte Amer
m.zammit@free.fr - 06 74 88 22 21
Compagnie soutenue par le Conseil Général de l’Essonne et la Communauté d ‘Agglomération Évry Centre Essonne.