Rappelons que les actions anti-mur ont lieu régulièrement (au moins hebdomadairement) depuis bien 4 ans, organisées et menées par les habitants eux-mêmes en autogestion, et qu’elles sont, malgré ou à cause de la décision collective de privilégier des manifs non-violentes, sujettes à une répression systématique et brutale de l’armée d’occupation.
Le Mur enfin, expropriant à tour de bras, privant les agriculteurs locaux de Cisjordanie de leurs lieux de taf, fait peau de chagrin du village.