Association France Palestine Solidarité

Menu
  • L’association
    • Charte et statuts
    • Groupes locaux
    • Nos partenaires
    • Lettre d’information
    • Faire un don
    • Adhérez
    • Revue de l’AFPS, Palestine Solidarité
  • Actions
    • Campagnes
    • Évenements soutenus
    • Projets en Palestine
    • Missions en Palestine
    • Pétitions
    • Parrainages
    • Produits palestiniens
  • Informations
    • Actualités
    • Analyses
    • En direct de Palestine
    • Témoignages
    • Communiqués
    • Culture
    • Publications de l'AFPS
  • Références
    • Repères historiques
    • Rapports
    • Cartes
  • Mobilisation
    • Campagnes
    • Échos du national
    • Échos des groupes
    • Matériel militant
    • Appel et pétitions
    • Agenda
  • Thématiques
Accueil > Informations > Actualités > La police de Jérusalem lance des flashbangs sur des Palestiniens protestant contre la visite d’un législateur d’extrême droite
Actualités
vendredi 11 juin 2021
Nir Hasson, Yanal Jbareen / Haaretz

La police de Jérusalem lance des flashbangs sur des Palestiniens protestant contre la visite d’un législateur d’extrême droite

Itamar Ben-Gvir est arrivé dans la vieille ville de Jérusalem pour contester une décision des autorités israéliennes lui interdisant l’accès au Mont du Temple. Lorsque les manifestants ont brandi des drapeaux palestiniens, la police les a dispersés par la force.

Jeudi, la police israélienne a utilisé des grenades assourdissantes pour disperser une foule de plusieurs centaines de Palestiniens qui s’étaient rassemblés près de la porte de Damas, dans la vieille ville de Jérusalem, pour protester contre le législateur d’extrême droite Itamar Ben-Gvir.

Le législateur kahaniste du parti du sionisme religieux de Bezalel Smotrich était arrivé dans la vieille ville pour contester une décision des autorités israéliennes l’empêchant de défiler dans le quartier musulman et de visiter le Mont du Temple.

Les manifestants ont brandi des drapeaux et scandé des slogans contre Ben-Gvir. Après que plusieurs manifestants aient hissé des drapeaux palestiniens, la police leur a lancé des grenades paralysantes.

Selon la police, au moins 14 manifestants palestiniens ont été arrêtés. Trois d’entre eux sont soupçonnés d’avoir attaqué des journalistes qui se trouvaient sur les lieux.

A la porte de Damas, Ben-Gvir a déclaré : "Je suis venu ici [pour protester] contre la décision d’un commissaire de police défaillant et contre la honte qu’un membre de la Knesset ne puisse pas défiler ici."

Pendant ce temps, le porte-parole de l’aile militaire du Hamas, Abu Ubaida, a déclaré que l’organisation suivait de près les événements à Jérusalem et ce qu’elle qualifie de tentatives de provocation de la part des colons radicaux.

Khalil al-Hayya, chef adjoint du politburo du Hamas, a également averti que le cessez-le-feu conclu le mois dernier pourrait s’effondrer "si la radicalisation des colons n’est pas enrayée".

"Nous n’attendrons pas longtemps pour qu’Israël ouvre les postes frontières et autorise l’entrée de l’aide qatarie", a-t-il ajouté.

Le commissaire de police israélien Kobi Shabtai, dans une décision sans précédent, a interdit mercredi à Ben-Gvir et à sa collègue MK de droite May Golan de défiler jeudi à la Porte de Damas à Jérusalem-Est pour la Marche du Drapeau prévue.

Selon le commissaire, la présence des membres de la Knesset serait susceptible d’inciter à des émeutes. Le commissaire a également décidé d’interdire à Ben-Gvir l’accès au Mont du Temple, ou Haram al-Sharif comme l’appellent les musulmans, mercredi et jeudi.

Jeudi matin, Ben-Gvir a demandé à la Cour suprême d’annuler la décision, affirmant que le commissaire de police n’avait pas le pouvoir de lui interdire l’accès au Mont du Temple. Mais la Cour a rejeté la requête, estimant que le délai était trop court pour prendre une décision éclairée sur la question.

La protestation de Ben-Gvir fait suite à une décision du cabinet de reporter la marche du drapeau à travers Jérusalem, initialement prévue pour jeudi mais annulée après que la police ait déclaré qu’elle ne l’autoriserait pas à passer par le quartier musulman de la vieille ville, invoquant des problèmes de sécurité.

La marche doit maintenant avoir lieu mardi, mais le cabinet n’a pas encore décidé d’un autre itinéraire. La police a élaboré un plan qui permettrait de contourner les points chauds du quartier musulman. L’une des options à l’étude consiste à faire passer la marche par la Porte de Jaffa, d’où elle se rendra au Mur occidental.

Partager

Mots clés

  • Jérusalem
  • Politique et société israéliennes

Source

Publié par : Haaretz

À LA UNE

Communiqués
mercredi 11 mai 2022
Communiqué de l’AFPS

Journaliste palestinienne assassinée par Israël : des sanctions s’imposent

Communiqués
vendredi 6 mai 2022
Communiqué de l’AFPS

Arrêter le transfert forcé des Palestiniens par Israël !

Pétitions et appels
samedi 14 mai 2022
AFPS

Assassinat de Shireen Abu Akleh : nous demandons des sanctions contre Israël

Echos du National
jeudi 5 mai 2022
AFPS et de nombreux partenaires

Tournée "Jeunesse palestinienne en résistance" à travers toute la France

  • L’association
    • Charte et statuts
    • Groupes locaux
    • Nos partenaires
    • Lettre d’information
    • Faire un don
    • Adhérez
    • Revue de l’AFPS, Palestine Solidarité
  • Actions
    • Campagnes
    • Évenements soutenus
    • Projets en Palestine
    • Missions en Palestine
    • Pétitions
    • Parrainages
    • Produits palestiniens
  • Informations
    • Actualités
    • Analyses
    • En direct de Palestine
    • Témoignages
    • Communiqués
    • Culture
    • Publications de l'AFPS
  • Références
    • Repères historiques
    • Rapports
    • Cartes
  • Mobilisation
    • Campagnes
    • Échos du national
    • Échos des groupes
    • Matériel militant
    • Appel et pétitions
    • Agenda
  • Thématiques
ASSOCIATION FRANCE PALESTINE SOLIDARITÉ
21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris
Tél : 01 43 72 15 79
afps@france-palestine.org
  • Contact presse
Mentions légales Design: OOIIDéveloppement: Negative Network