« Le manque de carburant entrave le fonctionnement de services publics vitaux, en particulier des hôpitaux », déclare Irfan Sulejmani, chef de la sous-délégation du CICR à Gaza. « Sans ces réserves d’urgence, le traitement de milliers de patients risque d’être interrompu, mettant des vies en danger. »
Ces dernières années, Gaza a fait face à une pénurie d’électricité récurrente. La situation s’est aggravée la semaine dernière lorsque la seule centrale électrique du territoire a été arrêtée. Du fait de la sollicitation accrue du réseau électrique et des pannes de courant chroniques, les hôpitaux dépendent désormais de générateurs jusqu’à 18 heures par jour.
Le CICR appelle les autorités à prendre des mesures pour remédier à cette pénurie avant qu’elle n’entraîne des répercussions encore plus graves.