Une Finistérienne, refoulée à l’aéroport de Roissy et empêchée de se rendre en Israël était présente.
Ci-dessous ce qu’en disent les journaux "Le Télégramme" et "Ouest France" dans leurs versions électronique et papier.
Article dans le journal électronique du Télégramme :
Brest. Un rassemblement pour soutenir les passagers du Dignité
19 juillet 2011 à 19h12
Ce matin, le navire a été arraisonné et les seize passagers ont immédiatement été entendus par les autorités israéliennes, apparemment sans violence.
Le navigateur Jo Le Guen et la présidente de France Palestine Brest (vice-présidente du bureau national) Claude Léostic font partie de ces personnes interceptées. Pour appuyer la libre circulation dans les eaux palestiniennes et la libération de l’équipage et des passagers du navire retenus dans un port israélien, une dizaine de personnes s’est réunie ce soir, place de la Liberté, à Brest.
(Photo Stéphane Jézéquel) - image Brest. Un rassemblement pour soutenir les passagers du Dignité.
Article dans le Télégramme version papier (avec la même photo) :
Flottille de la Liberté pour Gaza
"Libérez les seizes passagers !"
Le navire de la flottille de la liberté Dignité-al-Karama a été arraisonné, hier matin, avec ses 16 passagers, immédiatement entendus par oles autorités israéliennes, apparemment sans violence. Le navigateur Jo Le Guen et Claude Léostic, la présidente de france Palestine Brest (vice-présidente du bureau national) font partie de ces 16 personnes (six nationalités) interceptées par les autorités israélienne.
Pour appuyer la libre circulation dans les eaux palestinienne et la libération de l’équipage et des passagers du navire, retenus dans un port israélien, une dizaine de personnes était réunie hier soir, place de la Liberté.
Article en page nationale (2) du "Télégramme de Brest" version papier :
Flottille pour Gaza. Le bateau français arraisonné par Israël
20 juillet 2011
La marine israélienne a arraisonné, hier, le navire français Dignité-Al Karama, dernier rescapé d’une flottille internationale qui tentait de forcer le blocus maritime de la bande de Gaza. Le bateau transportait 16 personnes, dont onze Français. « À la suite de leur refus (des passagers) de se rendre au port d’Ashdod, il est devenu inévitable d’aborder le navire et de le conduire à Ashdod », dans le sud d’Israël, a assuré l’armée, ajoutant que l’intervention s’était déroulée sans violences. Les organisateurs de la flottille affirment que le bateau « a été arraisonné illégalement dans les eaux internationales de Méditerranée, non loin de Gaza ». Le ministère français des Affaires étrangères a quant à lui appelé les autorités israéliennes à agir « avec responsabilité et mesure » et respecter « tous les droits de nos ressortissants ». Par ailleurs, un diplomate turc a annoncé, hier, qu’Israël va probablement présenter rapidement ses excuses à la Turquie pour le raid sur le ferry Mavi Marmara, au cours duquel neuf Turcs avaient été tués, en 2010.
Article dans Ouest France (version papier) page de Brest :
Flottille de Gaza : une brestoise emprisonnée
Selon l’antenne brestoise de l’association France Palestine (AFPS), la militante Claude Léostic figure parmi les seize passgers du dernier bateau qui composait la "Flottille de la Liberté". Le bateau a été arraisonné pra la marine israélienne. L’AFPS affirme que les passagers ont été emprisonnés. La Flottille de la Liberté voulait se rendr dans la bande de Gaza, territoire palestinien soumis à un blocus israélien.
En avril 2002, Claude Léostic s’était rendue à Rammallah, en Cisjordanie, au siège de l’Autorité Palestinienne encerclée par l’armée israélienne. Elle étaitv restée aux côtés de Yasser Arafat, le Président de l’Autorité palestinienne qui était reclu dans son bunker.
Article dans Ouest France (version papier) page nationale :
Le bateau français pour Gaza intercepté par Israël
Comme elle l’avait annoncé, l’armée israélienne n’a pas laissé le Dignité-al-Karama (photo) rejoindre les côtes de la bande de Gaza. Des commandos de la marine ont abordé le seul bateau de la flottille humanitaire à avoir pu tenter le voyage. Avant de voir leur bateau arraisonné, les seizes passagers, dont onze français, sont restés encerclés pendant plusieurs heures par les navires de guerre. C’est sous leur escorte qu’ils ont ensuite été contraints de rejoindre le port d’Ashdod, au sud d’Israël. La France a appelé les autorités israélienne à agir avec "responsabilité et mesure". Les militants risquent l’expulsion et l’interdiction du territoire israélien.