Près d’un mois après le début du conflit entre Israël et le Hezbollah, les cinq organisations soulignent que "les soins médicaux, l’approvisionnement en eau et en alimentation ne peuvent pas être garantis aux plus vulnérables".
"Le blocus aérien, terrestre et maritime imposé au Liban entrave considérablement l’acheminement de l’aide et la possibilité pour les populations civiles de se mettre à l’abri", notent-elles.
Elles dénoncent également "une véritable destruction des infrastructures civiles libanaises" qui aura des conséquences, notamment "en terme de santé publique".
Les cinq organisations appellent à "une cessation immédiate des hostilités" et au respect du droit international humanitaire "pour rendre possible l’accès à toutes les victimes et épargner les populations civiles".