Le 24 février 2024, l’AFPS a appelé à un rassemblement pour exiger un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Environ 200 personnes ont répondu présentes, rassemblées autour du drapeau palestinien et de banderoles.
De nombreux échanges sur la situation à Gaza ont eu lieu, accompagnés de la lecture du communiqué de l’AFPS nationale, de la lettre du commissaire général de l’UNRWA au président de l’Assemblée générale des Nations Unies, et d’une dénonciation de la politique génocidaire du gouvernement des États-Unis qui alimente ce massacre par ses livraisons d’armes et la complicité de l’Occident.
Une militante a partagé son témoignage, racontant comment elle avait découvert la Palestine alors qu’elle était lycéenne, lors de la venue à Nice de Leila Shahid, suivie d’une rencontre-débat à l’Ariane organisée, entre autres, par l’un de ses professeurs qu’elle remerciait.
Il a été souligné l’apport et la nécessité de cette ouverture sur le monde par le corps enseignant, ainsi que l’exigence de vérité des médias sur ce "conflit" et la guerre en cours menée par Israël contre le peuple palestinien. Des témoignages ont également exprimé la souffrance et la colère des mères face à la mort de tous ces enfants, se désespérant de leur impuissance face à ce massacre, ce génocide.
Ces moments d’information et d’expression autour de la Palestine sont ressentis comme un besoin, celui très fort de dire que la population est là, auprès de ce peuple qui souffre, et qu’ils ne lâcheront rien tant que ses droits ne seront pas reconnus et que ce massacre, qui nie et bafoue l’humanité toute entière, ne cessera.