Depuis que cette manifestation annuelle existe, le nombre de groupes de l’AFPS augmente d’année en année. De même que le nombre de manifestants. Cette année il y avait entre 600 et 700 personnes réunies sous un beau soleil d’automne. Sans la covid, il y en aurait eu encore plus. C’est un gros succès, mais que la presse a été bien timide à noter, quasiment inexistante sur le terrain.
L’AFPS nationale a eu son temps de parole avec Christian Rubechi (membre du BN et animateur du groupe de travail prisonniers) qui représentait le bureau national. L’AFPS Pau a axé son intervention sur le thème du droit et des droits de Georges Ibrahim Abdallah, ce qu’il a approuvé.
L’avocat de Georges Ibrahim Abdallah a évoqué le souhait de son client de ne plus présenter de demande de libération. Georges Ibrahim Abdallah parle de ses expériences précédentes comme d’une humiliation qui d’ailleurs n’ont abouti à rien.
Il souhaite maintenant que le combat se dirige d’une part vers l’international : faire connaître son cas et aussi vers les dirigeants de la France : obtenir un ordre d’expulsion vers le Liban, avant d’obtenir sa libération.