S’il paraît évident à toute personne de bonne foi que la décidsion d’Ariel Sharon de se retirer de la bande de Gaza est dictée par le coût de l’occupation de cette minuscule bande de terre surpeuplée (1 400 000 Palestiniens sur 216 km carrés, 700 colons sur 144 km carrés) et par l’"opportunité" que cela lui donnerait d’accroître encore la colonisation en Cisjordanie, certains pensent que le bilan pour les Gazaouis sera positif. Et pourtant !