Samedi à midi, des forces de police et de sécurité sont arrivées dans la chambre de Maher Al Akhras, ont poussé sa femme dehors, puis l’ont jeté par terre et puis l’ont transféré dans une autre chambre. Sa famille n’a pas le droit de lui rendre visite. Son corps réagit très mal à cette brutalité. Il demande à être soigné dans un hôpital palestinien et refuse de recevoir un traitement de la part de médecins israéliens.
"Je ne veux pas mourir à Kaplan, mais dans un hôpital palestinien, entouré de ma mère, de ma femme et de mes enfants. Je ne veux pas être mis dans un frigo, ni être soumis à une autopsie. Je veux que mon corps soit porté au tombeau par mes amis, les anciens prisonniers qui se sont battus pour moi et les membres de la famille des Shahids (martyrs). Je recommande à mon peuple de protéger notre patrie."