On ne dévoilera pas ici le mécanisme du livre, ce qui reviendrait à livrer la clef d’un polar à l’ami qui vient de l’acquérir, mais comme le proclame le titre Adieu Jérusalem (Stock, 20,99 euros) , le lecteur comprendra que deux mandats de Barack Obama (en 2017, Susan Rice, l’actuelle ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU, occupe les fonctions de secrétaire d’Etat) n’ont été d’aucun secours pour la question palestinienne.
Le pire étant donc à venir, il est donc question d’un grand embrasement, de peste noire, d’antisémitisme, d’isolement d’Israël, et du parcours d’un Estonien, Rein Laristel, devenu secrétaire général des Nations unies “qui n’aura peut-être pas d’autre choix que d’enclencher la fin d’une aventure que le monde ne parvenait plus à suivre”.
Faut-il s’en alarmer ? En vérité, 2017 relève encore de l’éternité.