Ziad Medoukh,professeur de français à l’université Al-Aqsa de Gaza en Palestine,coordinateur du centre de la paix à cette université,vient de sortir un livre de poèsie en France sous le titre:J’enseigne la paix à Gaza-poèmes de la paix palestinienne.
publié par la maison d’édition :l’Autres édition à Montpellier,ce recueil de poèmes regroupe plus de 60 poèmes qui parlent de la Palestine,Gaza,les jeunes,les femmes et les enfants palestiniens,il chante la paix,l’espoir et la liberté pour la Palestine et pour la région.

Présentation :
Ziad Medoukh est professeur de français à l’université Al-Aqsa à Gaza
Il participe aux rencontres de la Palestine,Gaza,la francophonie, la non violence et la paix partout dans le monde.
Il est attaché aux principes de la démocratie, des droits de l’homme,
Militant engagé pour la paix et pour des solutions pacifiques dans la région, il a
créé en 2006 un centre de la paix à son université de Gaza.
Ziad Medoukh est écrivain, poète, chercheur, intellectuel, mais se définit souvent comme simple citoyen palestinien
Il chante dans ses poèmes l’amour de la Palestine, l’attachement à sa ville natale, Gaza, la résistance sur la terre de Palestine, l’engagement des femmes palestiniennes, le rôle de la jeunesse dans la société palestinienne
Il évoque souvent l’espoir dans ses écrits, l’espoir d’un lendemain meilleur à Gaza et en Palestine
Surtout il répète toujours dans ses poèmes le mot paix.
C’est la voix de la paix palestinienne pour le monde francophone
Si ses poèmes ponctuent les évènements qui ont marqué Gaza et impressionné le monde, c’est que Ziad Medoukh s’identifie à la Palestine, à ses compatriotes, dont chaque geste, chaque livre ouvert, est au quotidien un acte de résistance à l’occupation et au blocus israéliens
citoyen palestinien de Gaza, il tente de réparer les déchirures du drapeau palestinien, il sait que la paix est la seule solution pour le conflit. La paix est le nom de notre Dieu qui nous demande de vivre en paix sur sa terre sacrée .
Il émane de ces poèmes une générosité, celle d’un homme qui dit merci, merci à la culture française, merci aux militants solidaires de la Palestine. On y lit le désir de n’oublier personne, et surtout aucun de ceux qui souffrent et auxquels il voudrait redonner espoir.