Le boycott en France est essentiellement sur le terrain économique mais c’est complètement marginal, toutes les quelques semaines des gens viennent crier contre les clients dans des supermarchés pour ne pas acheter des produits israéliens mais ce n’est pas cela qui réduira l’activité d’Agrexco. Mais cela peut dégrader l’image d’Israël.
Il indique que l’ambassade ne néglige pas pour autant cela et qu’il initie des actions que l’ambassade coordonne mais ne conduit pas, que la France a une législation anti-boycott et que l’ambassade encourage les organisations à attaquer en justice ceux qui organisent le boycott.
Et, dit-il, nous poursuivons des contacts directs avec les ministres, étudiants, organisations, consommateurs qui sont en train de se réveiller. Mais nous faisons attention de ne pas aller trop loin car actuellement la médiatisation est faible et je ne veux pas que ces informations (boycott) arrivent à la grande masse de l’opinion publique.
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