– Banques et assurances : le système bancaire israélien constitue un outil essentiel de la politique de colonisation, comme certaines grandes entreprises israéliennes qui fournissent des services aux colonies. Des banques et assurances françaises ont des liens financiers – des participations directes ou par le biais de fonds d’investissement - avec ces banques et entreprises israéliennes. Cette campagne, menée avec les partenaires de la campagne Orange, vise à faire pression sur ces banques et assurances, pour qu’elles mettent fin à ces « liaisons dangereuses avec la colonisation ». Voir les dépliant, tract et lettre type aux agences bancaires.
Résultat de campagnes antérieures, des entreprises se sont déjà désengagées :
– Orange a cessé sa relation avec son partenaire israélien depuis début 2016. L’impact médiatique de cette rupture a été très fort. Voir notre communiqué "Rupture du contrat entre Orange et Partner Israël : Une victoire pour le mouvement de solidarité avec la Palestine et tous les défenseurs des droits humains"
– Veolia a cessé toute activité dans le tramway de Jérusalem et s’est totalement retiré d’Israël. Voir notre communiqué "Israël et territoires occupés : le désengagement de Veolia, une vraie victoire"
– Safège a mis fin à son contrat d’étude et Poma s’est engagé à ne pas soumissionner sur un projet de télécabine urbain à Jérusalem-Est. Voir notre communiqué "Un coup porté contre la colonisation de Jérusalem Est"
– A l’étranger des banques israéliennes ont été également « blacklistées » par des fonds de pension américain, néerlandais et luxembourgeois. Des multinationales comme G4S (désinvestie notamment par Bill Gates), Dexia et Caterpillar, ont subi le même sort.
Comment s’y prendre pour mener des actions pour le désinvestissement