La tentative de briser dans le sang la résistance non violente de la société palestinienne est autant criminelle que vouée à l’échec. Mais il est de la responsabilité de la France de sortir des incantations pour arrêter ces crimes et sanctionner les violations du droit.
C’est ce qu’a demandé une délégation de l’AFPS et de la LDH reçue par la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de Maine-et-Loire, après une demi-heure de rassemblement. Ce très court laps de temps, du fait de l’heure de l’audience, a néanmoins permis de récolter sur place 92 signatures demandant au président de la République de s’opposer à ces crimes et de les sanctionner. Cela montre à quel point notre indignation est partagée dans la population.
Nous restons mobilisés et un prochain rendez-vous a été donné aux manifestants pour nos « 8h pour la Palestine » samedi 21 avril. Centrées sur la question de Jérusalem, elles ne laisseront de côté ni la solidarité avec Gaza, ni la solidarité avec l’ensemble des réfugiés palestiniens.