Au moins 300 personnes se sont retrouvées samedi 23 mars au Centre Jean Vilar, dans le quartier populaire de la Roseraie, à l’appel de l’AFPS 49.
Le point central en était l’intervention d’Alain Gresh. Il a replacé le génocide en cours dans son cadre historique, avec la volonté stratégique des dirigeants israéliens de se débarrasser des Palestiniens et de parachever la Nakba, pointant avec précision l’adhésion majoritaire des médias au narratif israélien et la complicité des autorités française.
Ce qui renforce ma responsabilité et se mobiliser davantage encore.
Commencée avec le film "Les bébés clandestins de l’intifada" autour de la question des prisonniers politiques et de la "bataille démographique", la journée s’est terminée par une soirée musicale avec le slameur Kwal et deux musiciens.
Des prises de contacts nombreuses et des adhésions nouvelles. Au total, un vrai renforcement de l’AFPS 49.