Le samedi 4 mai, 210 personnes se sont rassemblées devant le Carré d’Art, suivies d’une marche jusqu’à la préfecture. Le cortège, très énergique, a réclamé un cessez-le-feu immédiat, avec des prises de parole par les représentant-e-s des organisations appelantes. Depuis plusieurs semaines, l’AFPS Nîmes a été rejoint par trois Palestiniens, dont un de Gaza et deux jeunes Palestiniens de 48.
Le mercredi 8 mai, 180 personnes ont répondu à l’appel de l’AFPS Nîmes pour un rassemblement devant la Préfecture du Gard, condamnant l’offensive israélienne sur Rafah. Le même jour, une vingtaine de membres ont mené une action devant le Carrefour de Nîmes Ouest, dissuadant plusieurs clients d’entrer, après avoir expliqué les liens de l’enseigne avec la colonisation. Le directeur, bien qu’il ait reconnu la légitimité de l’action, a exprimé des réserves quant à l’accusation de "criminel de guerre" à l’encontre de Carrefour.
Le samedi 11 mai, 220 personnes ont participé au rassemblement devant le Carré d’Art, suivi d’une marche jusqu’à la préfecture, où quelques passant-e-s les ont rejoints.
Le samedi 18 mai, malgré la Féria et des rumeurs d’interdiction, 120 personnes ont répondu à l’appel de l’AFPS Nîmes. Une chaîne humaine a encerclé la Maison Carrée, et les slogans ont résonné plus fort que le bruit des peñas. Bien que la Féria ait réduit la participation, de nouvelles personnes, principalement des jeunes, ont rejoint le mouvement, certaines demandant même à adhérer.