Objet : demande d’intervention auprès du gouvernement français
Monsieur le Président,
La situation en Palestine occupée est extrêmement grave. Gaza est assiégée, affamée, isolée du monde. Le gouvernement israélien vient de déclarer Gaza "entité hostile" et se réserver le droit de ne plus alimenter les quelques 1,5 million de Gazaouis en électricité, eau, et produits de première nécessité. Au regard du droit international, la Bande de Gaza est toujours sous occupation israélienne. En conséquence, l’Etat d’Israël, en sa qualité de puissance occupante, est tenue de fournir tous moyens d’existence à la population palestinienne sous occupation. Par ailleurs, cette décision constitue une punition collective, interdite par le droit international, et est plus que condamnable au niveau de la morale.
C’est pourquoi, au nom des quelques 2000 signatures réunies en deux jours (voir ci-joint), sans préjuger de milliers d’autres signatures collectées partout en France, je vous demande d’user de votre responsabilité d’élu et de président de l’Assemblée nationale pour intervenir auprès du gouvernement français et lui demander :
d’agir pour mettre un terme au siège de la bande de Gaza et pour assurer la réouverture de tous les points de passage entre la bande de Gaza et l’extérieur.
de peser au sein de l’Union européenne pour la levée des sanctions imposées au peuple palestinien comme à ses institutions, notamment dans la bande de Gaza.
de sanctionner Israël tant que les autorités israéliennes violeront le droit international et les droits humains les plus élémentaires
D’autre part, la France doit agir pour la convocation d’une véritable conférence de paix fondée sur le droit international, sous l’égide des Nations unies.
Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma respectueuse considération.
Bernard Ravenel,
Président de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS)
A l’attention de Monsieur le Président de la République Nicolas Sarkozy,
Objet : envoi de pétitions et demande de rendez-vous
Monsieur le Président,
La France inscrit sa diplomatie, et tout particulièrement au Proche et au Moyen-Orient, dans le respect et la défense du droit international. Et c’est en ce sens que nous nous adressons à vous aujourd’hui, Monsieur le Président, car la situation en Palestine occupée est extrêmement grave. Gaza est assiégée, affamée, isolée du monde. Le gouvernement israélien vient de déclarer Gaza "entité hostile" et se réserver le droit de ne plus alimenter les quelques 1,5 million de Gazaouis en électricité, eau, et produits de première nécessité. Au regard du droit international, la Bande de Gaza est toujours sous occupation israélienne. En conséquence, l’Etat d’Israël, en sa qualité de puissance occupante, est tenue de fournir tous moyens d’existence à la population palestinienne sous occupation. Par ailleurs, cette décision constitue une punition collective, interdite par le droit international, et est plus que condamnable au niveau de la morale.
C’est pourquoi, au nom des quelques 2000 signatures réunies en deux jours (voir ci-joint), sans préjuger de milliers d’autres signatures collectées partout en France, je vous demande d’user de votre responsabilité de Président de la République et :
d’agir pour mettre un terme au siège de la bande de Gaza et pour assurer la réouverture de tous les points de passage entre la bande de Gaza et l’extérieur.
de peser au sein de l’Union européenne pour la levée des sanctions imposées au peuple palestinien comme à ses institutions, notamment dans la bande de Gaza.
de sanctionner Israël tant que les autorités israéliennes violeront le droit international et les droits humains les plus élémentaires
D’autre part, la France doit agir pour la convocation d’une véritable conférence de paix fondée sur le droit international, sous l’égide des Nations unies.
Pour vous entretenir de cette situation qui me semble particulièrement grave, je vous serai reconnaissant de bien vouloir m’accorder une audience.
Dans cette attente, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute considération.
Bernard Ravenel,
Président de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS)