Comme tous les camarades de Lille, Nantes, Lyon …et plus de 40 villes en France depuis le 17 avril, nous étions entre 300 à 500 à l’Opéra hier pour faire connaitre la situation critique des prisonniers palestiniens en grève de la faim depuis 38 jours.
Pour dénoncer aussi le silence incompréhensible de nos médias, à quelques exceptions près.
Pour demander instamment l’intervention du Président de la République et du nouveau gouvernement, pour faire enfin pression sur le gouvernement israélien, pour qu’il réponde aux revendications élémentaires des prisonniers en grève, pour la dignité.
C’est cette exigence vis-à-vis de notre gouvernement qu’ont exprimée avec force les prises de parole des représentants des organisations du Collectif National et des élus.