Une quinzaine de militants AFPS 63 et BDSF 63 étaient présents le 6 février à l’entrée de la séance « histoire du cinéma palestinien » dufestival international du court métrage de Clermont-Ferrand. Plus de 150 tracts contre l’Eurovision 2019 en Israël ont été distribués aux 200 personnes qui ont rempli la salle du CROUS Dolet, et ont reçu le tract avec intérêt. Au cours du débat sur les deux films projetés ainsi que sur la conférence d’un universitaire sur l’histoire du cinéma palestinien, un militant AFPS 63 et BDSF 63 a posé une question sur le cinéma israélien, les moyens mis par l’Etat israélien pour se donner une image « normale », les différents types de cinémas israéliens, et le BDS culturel. Le conférencier a indiqué qu’il n’était pas spécialiste du cinéma israélien, et ne « faisait pas de politique », mais qu’il pensait que l’Etat israélien ne donne pas beaucoup de moyens aux cinéastes, et qu’il faut voir tous les films.
A la fin du débat il ne restait que moins de la moitié de l’assistance, mais une dizaine de nouvelles personnes ont accepté de se faire prendre en photo devant le décor contre l’Eurovision et l’apartheid.