Le jeudi 21 juin, 3 militants de l’AFPS et 2 camarades d’ATTAC Nîmes, étaient à l’entrée de l’hôtel C Suites à la Ville Active où se tenait l’AG de la BPCE (groupe Banque populaire-Caisse d’épargne) pour demander à la banque de cesser ses activités avec les banques israéliennes et son implication indirecte avec la colonisation.
Ils avaient des panneaux, une petite brochure et un flyer destinés aux sociétaires de la BPCE. Alors qu’il avaient commencé à distribuer et à échanger avec des personnes qui se rendaient à cette AG, des hommes sont venus leur dire que "ce n’était ni le lieu, ni le moment, et qu’ils créaient du désordre, que des sociétaires se plaignaient …" en les menaçant d’appeler « les forces de l’ordre » et ne voulant rien entendre de leurs arguments sur les agissements des banques et de la Caisse d’épargne et sur les droits de l’homme. Ils se sont donc éloignés lentement tout en continuant à informer les sociétaires qui arrivaient.
Les forces de l’ordre ne sont jamais venues et les militants ont pu échanger avec beaucoup de personnes qui prenaient le temps d’arrêter leur véhicule et acceptaient avec intérêt leurs informations.
Prochaine action devant LCL (Crédit Lyonnais) le 26 juin à 11h15 au 32 bd Victor Hugo à Nîmes.